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La Commission européenne a décidé il y a quelques jours de traduire la Hongrie devant la Cour européenne de Justice en raison de la levée totale de la taxation de la production privée de Pálinka en 2010.
Crédit : nol.hu
L’Union européenne a décidément bien du mal à se faire aimer. Après avoir fait règlementer le « disznóvágás » [ceux qui ignorent de quoi il s'agit peuvent se renseigner sur Youtube, NDLR], ces Messieurs les technocrates sans doute peu sensibles à la perpétuation de coutumes séculaires sévissent encore pour s’en prendre cette fois à la házi Pálinka (faite à la maison) !
Peu après son élection, à l’été 2010, le gouvernement avait tenu une des promesses de campagne du candidat Viktor Orbán en annonçant la levée de la taxation sur la production de pálinka pour sa propre consommation dans une limite de 50 litres par an.
Cette taxation était entrée en vigueur en 2004 avec l’entrée de la Hongrie dans l’Union européenne, sous le gouvernement de Péter Medgyessi. Sur l’année 2009, cette taxe avait rapporté plus de 8 milliards de forints (environ 30 millions d’euros à l’époque) à l’Etat hongrois, selon le Bureau hongrois des Douanes et des Taxes (VPOP).
Avant la levée de l’interdiction, les petits producteurs – encore nombreux dans les campagnes – d’alcools de fruits, devaient passer par une distillerie coopérative certifiée qui collectait une petite somme d’argent (1.300 forints par 5 litres, soit 4 à 5 euros) auprès de chacun pour distiller leurs fruits.
« Les droits d’accises sur l’alcool sont harmonisés au titre de la législation de l’UE afin d’éviter des distorsions de concurrence sur le marché intérieur« , justifie la Commission. En vertu de la directive concernée, la Hongrie est autorisée à accorder une réduction allant jusqu’à 50% du taux d’accise normale sur la pálinka, mais l’exonération totale appliquée par la Hongrie va au-delà ce qui est autorisé par la législation européenne. La saisine de la Cour européenne de Justice est la dernière étape d’une procédure d’infraction contre la Hongrie.
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La Hongrie peut très bien taxer ces alcools, mais supprimer les services administratis qui la perçoivent… ou, plutôt, ne pas la rétablir. Ils ne sont pas doués les hongrois pour s’adapter aux législations européennes.
L’Union Européenne ferait mieux de s’occuper des industries chimiques et pharmaceutiques qui empoisonnent la planète et des millions de gents. Cette politique sélective montre bien qui sont ces imminents élus et quel rôle néfaste jouent dans l’appréciation du concept de la liberté tant sublimée.
Que le Diable emporte leur âme!
J’été il y a quelque année de cela favorable pour l’Europe , depuis quelques années je ne le suis plus, l’Europe détruis toutes les traditions , le savoir faire d’antan, les coutumes, mon Grand-Père qui habitée Magyars Itebe , distillée son házi Pálinka, il bouchoyer le cochon à l’ancienne, et moi enfant ,j’ai eu la chance de vivre cela. L’Europe et les BUREAUCRATES qui y siège, veuillent tous mettre au même niveau, tous stériliser ,tous capitaliser, tous réglementer.
Je n’aime pas cette Europe là, ceux qui siège à UE sont presque tous des patrons et des actionnaires de grosse entreprise multinationale , qui ne voie que le profit.
J’aime pas l’avenir qui ce présente devant nous, j’espère juste que la Hongrie face les bon choix , que ce sois pour sa culture, son savoir faire ancestrale, et de ces traditions.
La Hongrie aurait du faire comme la Suisse.