Suivez-nous sur Facebook !
Suivez-nous sur Twitter !
La moitié des familles hongroises espèrent que leur progéniture puisse partir travailler ou étudier à l’étranger, selon un sondage réalisé par le portail d’emplois Jobline.hu. Va, vis et deviens.
Jobline.hu a mené une enquête représentative de la population hongroise en interrogeant les parents de jeunes au seuil de leur entrée à l’Université. Leurs motivations les plus souvent citées pour travailler à l’étranger : des salaires plus élevés, l’opportunité d’apprendre une langue étrangère et la possibilité de faire une meilleure carrière,
« L’étude montre que la principale raison pour chercher un emploi à l’étranger n’est pas le manque d’emplois en Hongrie« , explique Gabor Toldi, directeur de Jobline.hu, ajoutant que le plus grand défi auquel doit faire face le marché du travail en Hongrie est de faire le lien entre les demandeurs d’emploi et les postes disponibles.
Les parents d’enfants ayant un faible niveau d’éducation ont plus tendance à envisager le fait que leur enfant parte travailler à l’étranger (68% chez les diplômés du secondaire, contre 40% pour les diplômés universitaires). La plupart des parents envisagent ce départ comme temporaire, de quelques années, avant le retour de l’enfant.
Les pays cibles les plus populaires pour l’enseignement supérieur sont le Royaume-Uni (39%), l’Allemagne et l’Autriche (28% chacun) et les États-Unis (9%).
Les parents interrogés sont conscients que des études à l’étranger coûtent plus cher, la plupart d’entre eux estimant qu’ils auraient à payer environ 160.000 forints (547 euros) par mois pour les frais de subsistance, en plus des frais de scolarité, contre 67.000 forints en Hongrie.
Source : MTI, Jobline.hu
@La rédaction :
Donc tout va ‘bien’ en Hongrie ?
Seulement il y a les motivations… Et les capacités…
Pas que les Hongrois soient des incapables, s’ils ne parlent que le hongrois…
‘Hongrois’ toujours tout comprendre avec certains… Mais !
C’est internet aussi, ce n’est pas de sources gouvernementales hongroises (bien que ce seraient elles les infos peu ‘crédibles’), mais ça doit ou devra faire plaisir à Monsieur Orbán…
Il ne manquerait pas d’emplois… Extraordinaire ça !
Je cite également :
… le plus grand défi auquel doit faire face le marché du travail en Hongrie est de faire le lien entre les demandeurs d’emploi et les postes disponibles.
Donc, c’est le tout et son contraire ?
Défi (-er) ?
Serait-il ‘déplacé’ de dire que les fils du cerveau de notre cher M. Orbán ne se touchent pas… ?
Hein, gentil Viktor…
Ah l’impôt unique… Bonne vieille recette des grands-mères Bolchéviques… Qui étaient prêtes à passer dans les bras de Staline… D’où je fais le lien avec l’idée de Bajnai.
L’enfant qui est intelligent et qui est parti, il reste là où il est… Les enfants on ne les fait pas pour soi.
Allé, ‘Hongrie’ un forint, de toute façon l’argent du contribuable c’est comme partout pour qui et comme on veut, et le social… Politique inexistante pour l’instant !
Udv.